Car la naissance est comme le trepas, le passage invisible dont nous ne savons pas, ne pouvons pas parler.
Naissances est aussi une parole masculine, celle qui avoque le -regard du pare, ce regard ambigu que l'homme porte sur celle qui met au monde.
Ce livre, qui relate trois naissances singulieres, tragiques ou heureuses, tente surtout de dire la a, venue au monde le banal miracle de chaque naissance.
Intrigua par ce que vit la femme et qu'il ne vivrajamais,fascin& par l'etre inimaginable dont il devra admettre qu'il est le pare, l'homme ne peut que se tenir dans unemarge dtrange lorsque s'annonce le nouveau, lorsque l'enfant parait.
L'homme, youe fine mettre au monde que des choses, ou, au mieux, des livres dont il ne sait jamais s'ils sont morts ou vifs.
Ⅰ- L'apparition
Ⅱ- L'attente
Ⅲ- La couleur des eaux
Ⅳ- La vision du pare
Ⅴ- Le commencement perpgtuel