Voici la premiere monographie consacrde a un peintre hautement reconnu durant sa breve existence et dont lauvre emouvante, inclassable, semble renaitre apres une dclipse-malgrd quelques rdtrospectives et de fervents amateurs -pour une comprdhension dlargie. Sans ravoir souvent rencontrd, je garde de Francis Gruber, comme tous ceux qui l’approcherent, un souvenir intense. J’ai passe deux ou trois soirdes exaltdes, en 1947, dans les restaurants ou il continua# encore, quoique malade, a renir ses amis, a ddployer devant eux sa verve dtourdissante, cocasse ou sulfureuse, visitd l’atelier silencieux ou il ramassait ses forces pour la transmutation finale.